Cartesianismos de Michaux em dia de Imaculada
[ou, companion guide for ‘last-tapes’ readers (à falta de terços, claro)]
Descartes, logo no início de ‘La Géométrie’, 1637 (pg 3. livro primeiro), reza assim:
«(…) voulant résoudre quelque problème, on doit le considérer comme déjà fait, et donner des noms à toutes les lignes, qui semblent nécessaires pour le construire, aussi bien à celle qui sont inconnues, qu’aux autres. Puis sans considérer aucune différence entre ces lignes connues, et inconnues, on doit parcourir la difficulté, selon l’ordre qui montre le plus naturellement de tous en quelle sorte elles dépendent mutuellement les unes des autres, jusqu’à ce qu’on ait trouvé moyen d’exprimer une même quantité en deux façons: ce qui se nomme une Equation».
Uns anos depois (1954), Michaux, imbuído nesse espírito, e a propósito dum livro sobre Paul Klee (esse fantástico pintor para calendários), escreve (equaciona) assim: (pode ler-se em ‘Passages’, ed. Gallimard, 1998, pg 114/115)
«Le réseau complète des lignes apparaissait (…): Celles qui vivent dans le menu peuple des poussières et des point, traversant des mies, contournant des cellules, (…) tournant en spirales pour fasciner, (…) ombellifères et agates.
(…) Les voyageuses, celles qui ne font pas tant des objets que des trajets, des parcours (…)
Les pénétrantes, celles qui au rebours des possesseuses, avides d’envelopper, de cerner, faiseuses des formes (…)
Celles qui, au rebours de maniaques du contenant, vase, forme, mont modelé du corps, vêtements, peau de choses, cherchent loin du volume, loin des centres, (…) mais qui davantage soit le maître du mécanisme, l’enchanteur caché. (…)
Les allusives, celles qui expose une métaphysique, assemble des objets transparents et des symboles plus denses que ces objets, lignes-signes (…)
Les folles d’énumération, de juxtapositions à perte de vue, de rimes, de la note indéfiniment reprise, (…) le labyrinthe de l’éternel retour.»
Não é o melhor Michaux, mas é no que se torna quando se cartesianiza. Continuo a achar que a melhor opção são os terços.
[ou, companion guide for ‘last-tapes’ readers (à falta de terços, claro)]
Descartes, logo no início de ‘La Géométrie’, 1637 (pg 3. livro primeiro), reza assim:
«(…) voulant résoudre quelque problème, on doit le considérer comme déjà fait, et donner des noms à toutes les lignes, qui semblent nécessaires pour le construire, aussi bien à celle qui sont inconnues, qu’aux autres. Puis sans considérer aucune différence entre ces lignes connues, et inconnues, on doit parcourir la difficulté, selon l’ordre qui montre le plus naturellement de tous en quelle sorte elles dépendent mutuellement les unes des autres, jusqu’à ce qu’on ait trouvé moyen d’exprimer une même quantité en deux façons: ce qui se nomme une Equation».
Uns anos depois (1954), Michaux, imbuído nesse espírito, e a propósito dum livro sobre Paul Klee (esse fantástico pintor para calendários), escreve (equaciona) assim: (pode ler-se em ‘Passages’, ed. Gallimard, 1998, pg 114/115)
«Le réseau complète des lignes apparaissait (…): Celles qui vivent dans le menu peuple des poussières et des point, traversant des mies, contournant des cellules, (…) tournant en spirales pour fasciner, (…) ombellifères et agates.
(…) Les voyageuses, celles qui ne font pas tant des objets que des trajets, des parcours (…)
Les pénétrantes, celles qui au rebours des possesseuses, avides d’envelopper, de cerner, faiseuses des formes (…)
Celles qui, au rebours de maniaques du contenant, vase, forme, mont modelé du corps, vêtements, peau de choses, cherchent loin du volume, loin des centres, (…) mais qui davantage soit le maître du mécanisme, l’enchanteur caché. (…)
Les allusives, celles qui expose une métaphysique, assemble des objets transparents et des symboles plus denses que ces objets, lignes-signes (…)
Les folles d’énumération, de juxtapositions à perte de vue, de rimes, de la note indéfiniment reprise, (…) le labyrinthe de l’éternel retour.»
Não é o melhor Michaux, mas é no que se torna quando se cartesianiza. Continuo a achar que a melhor opção são os terços.
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